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Les Bulletins de la Diana 3906 résultats
La création des petites écoles à MOntb.1690
Auteur : M.Ferret
Référence : 50 P.79à101
Thème 2 : Archives
Lieux : Montbrison
La creation du collège de Montbrison sous le 1er empire
Auteur : M.Claude Latta
Référence : 46 P.7à12
Thème 2 : Archives
Lieux : Montbrison
La création du collège des oratoriens de Montb. (1620 – 1629)
Auteur : M.Claude Latta
Référence : 56 P.7à19
Thème 1 : collège
Thème 2 : Archives
Lieux : Forez, Montbrison
La crise de l’administration municipale de St Etienne à la fin de l’ancien régime.
Auteur : R.Palluat de Bessey
Référence : 25 P.325à360
Thème 2 : Archives
Lieux : ST Etienne
La crise économique du XIVè s. , d’après les terriers Foréziens
Auteur : M.Edouard Perroy
Référence : 29 P.67à80
Thème 1 : économie
Thème 2 : Archives
Lieux : Forez
La croix des chanoines comtes de Lyon et les croix des chanoissesses d’Alix, de l’Argentière, de Leignieu, de Neuville
Auteur : M.l'abbé Sachet
Référence : 11 P.467à498
Thème 2 : Bibliothèque
Lieux : Lyon, Leignieu, Neuville
La croix des chanoinesses de Jourcey
Référence : 30 P.47à50
Thème 1 : objet du culte, bijoux
Lieux : Veauche
La croix du Crozet
Auteur : M.Mario Meunier
Référence : 27 P.485à487
Thème 2 : Architecture
Lieux : St Jean Soleymieux
La crypte de Champdieu
Auteur : M.Louis Bernard
Référence : 40 P.55à60
Thème 2 : Archéologie, architecture
Lieux : Champdieu
La date de l’édition originale de l’Astrée. — Panneau de bois provenant de l’ancienne galerie de Châteaumorand. — Communication de M. Louis Monery
La déclaration du curé Jérome Benoît de 1785
Auteur : M.Joseph Barou
Référence : 56 P.185à196
Thème 1 : religieux, impôt
Lieux : Montbrison
La démographie forézienne au XVIIIè s.
Auteur : M.François Tomas
Référence : 40 P.279à300
Thème 2 : Archives
Lieux : Forez
La dernière porte des remparts de St Rambert
Référence : 10 P.123à129
Thème 2 : Architecture
Lieux : St Rambert
la derniere revolte des mariniers de Roanne
Auteur : M.Jean Cabotse
Référence : 50 P.347à360
Thème 1 : marin
Lieux : Roanne
La destruction de Moind et de Chaysieu et l’invasion de Chrocus dans les Gaules. – Communication de M. le lieutenant Jannesson
Date : 1890

BD, Tome V, La destruction de Moind et de Chaysieu et l’invasion de Chrocus dans les Gaules. – Communication de M. le lieutenant Jannesson., pages 227 à 234, La Diana, 1890.

 

La destruction de Moind et de Chaysieu et l’invasion de Chrocus dans les Gaules. – Communication de M. le lieutenant Jannesson.

 

M. le lieutenant Jannesson s’exprime ainsi :

« L’année dernière, je crois avoir établi par l’observation de nombreuses monnaies romaines recueillies à Moind (1), que cette localité avait été une station gallo – romaine florissante pendant la première moitié du premier siècle ; cette prospérité subit un temps d’arrêt jusqu’au règne de Trajan, pour reparaître et se prolonger jusqu’à la fin du règne des Antonins. Enfin on peut dire avec certitude que Moind fut détruit de fond en comble vers l’année 265, un peu avant ou un peu après. Cette date fatale se confirme d’elle-même, car elle s’applique à plusieurs autres localités voisines telles que Chalain-d’Uzore, Boisset-lès-Montrond, etc.

L’analyse si savamment faite par M. Testenoire-Lafayette des trésors monétaires qu’on y a découverts nous apprend que les dernières pièces sont de Gallien et de Salonine.

Dans une province voisine, à Lezoux, l’étude attentive de la céramique gallo – romaine (voir le savant travail de M. le docteur Plicque) (2) nous a démontré que la destruction de cette ville remonte, comme pour Moind, à une époque comprise entre les années 265 et 270.

Il y a donc eu vraisemblablement à cette époque, dans toute la région, une invasion de barbares, un de ces flots d’hommes qui renversaient tout sur leur passage. Il m’a paru intéressant de rassembler et de vous soumettre un certain nombre de textes anciens qui peuvent jeter quelque lumière sur ce point obscur de notre histoire, et spécialement sur la marche probable suivie par les envahisseurs.

Eutrope, historien latin du IVe siècle, parlant d’une formidable invasion des Gaules, qu’il place vers l’année 265, s’exprime ainsi :

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(1) Voir le Bulletin de la Diana, Janvier-avril 1889
(2) Congrès archéologique de France, LIVe session, 1865

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« Les Germains après avoir ravagé les Gaules pénétrèrent en Espagne (1) ».

Aurélien-Victor, autre historien latin du IVe siècle rapporte les mêmes faits au règne de Gallien, c’est à dire à la même époque :

“Les Francs après avoir ravagé la Gaule se rendirent maîtres de l’Espagne (2) ».

De ces deux auteurs, l’un appelle les envahisseurs des Germains, l’autre des Francs ; mais dans leur pensée, il s’agit d’un même peuple.

Procope ne laisse aucun doute à ce sujet, il s’exprime ainsi :

« Les Vandales des rives du marais Méotide, pressés par la famine, se retirèrent sur les bords du Rhin, chez les Germains appelés aujourd’hui Francs, après s’être alliés aux Alains, peuple de race gothique (3) ».

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(1) Vastatis Galliis, Germani usque in Hispaniam intraverunt : Eutrope, Brevarium rerum Romanarum, L. IX.
(2) « Francorum gentes, direpta Gallia, Hispaniam possederunt ». Aurelius Victor, De Coesaribus, cap. 33.
(3) Bâv8tXot I€ âpqi r~v Matarty tilxr&Evot ) (ev, v , ii:Et3i Xtp.tn i rd(ovro, Éç FEpµavotiç TE, oi vûv I payyot X o vrat, xai z:ora u v `Pi7vov EZtspouv, ‘A)4vouç €ratptç&p.EVOt FotOtxiv €Avoç : Procope, Guerre des Vandales, L. I, chap. III.

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De ce texte résulte que les Vandales ont pu être confondus avec les Germains et les Francs, ce qui va me permettre d’établir une concordance entre les auteurs précédents et ceux qu’il me reste à citer.

Au VIIe siècle, Warnaharius, qui s’inspire d’un auteur beaucoup plus ancien, nous apprend que Chrocus, chef des Vandales, avait envahi et pillé plusieurs provinces de la Gaule, s’était emparé de Langres où se trouvait l’évêque Didier, et l’avait fait mettre à mort en compagnie d’un grand nombre de chrétiens. Ceci est une date, la mort de saint Didier paraissant devoir être fixée vers l’an 264 (2).

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(2) V. Acta Sanctorum, 23 maii, apud Bollandianos. – Dom Bouquet, T. I., p. 641, Ex actis Sancti Desiderii. – Résumé de l’histoire de Langres, par Jacques Vignerius, jésuite, 1665

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Plus loin, le même auteur dit encore que Dieu vengeur Deus vindex, fit tomber Chrocus aux mains de l’ennemi sous les murs d’Arles, où il fut torturé et tué à son tour.

Comme l’invasion s’étendit jusqu’en Espagne, je tire des faits précédents une conclusion immédiate : Chrocus a dû traverser notre région pour aller de Langres en Espagne, puisqu’au retour il suivait la vallée du Rhône lorsqu’il vint se faire prendre sous les murs d’Arles. Ce chef barbare ne se serait jamais avisé, j’allais dire n’aurait jamais commis la faute de passer par le même chemin pour aller en Espagne et pour en revenir : la raison c’est que ses soldats seraient morts de faim, car ces hordes barbares pillaient, détruisaientet incendiaient les villes qu’elles traversaient.

Dès lors, il est assez vraisemblable que dans sa marche vers les Pyrénées, il suivit la direction générale de la voie romaine dont la table de Peutinger nous fait connaître le tracé de Langres en Espagne par Lugdunum, Forum Segusiavorum, Aqua Segetœ (notre Moind), Icidmagus, Tolosa, pour venir aboutir aux pieds des Pyrénées; peut-être son armée fractionnée suivit-elle quelque temps les vallées de la Loire et de l’Allier, pour faire sa jonction à Condate.

Les auteurs qu’il me reste à citer, sont bien plus concluants et bien plus précis; mais avant d’allér plus loin, je dois faire remarquer que le nom d’Allamani ou allmen signifiait dans le langage des barbares d’au-delà du Rhin, comme maintenant encore, « toutes sortes d’hommes (1) ».

C’est une appellation générique, sous laquelle les écrivains latins des bas temps confondent parfois les peuples désignés précédemment sous les noms de Suèves, Alains, etc.

Soit dit en passant, il en est un peu de même aujourd’hui, et l’on a quelques tendances encore à appeler Allemands tous les peuples qui parlent la langue tudesque. Les historiens futurs qui écriront l’histoire de notre temps confondront plus d’une fois Prussiens, Bavarois et Wurtembergeois, et il y a gros à parier que cette phrase de Grégoire de Tours, Hos secuti Suevi, id est Allamani reviendra souvent dans leurs écrits sous cette forme : « Les Prussiens avaient à leur suite les Hessois, les Badois, etc., qui sont des Allemands ».

Cela posé, je puis citer Grégoire de Tours qui, au VIe siècle, s’exprimait ainsi dans son Historia Francorum : « Sous leur règne (Gallien et Valérien), Chrocus roi des Allamans ayant mis son armée en mouvement, parcourut les Gaules (2) »

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(1) Sur ce mot d’Alamanni le savant secrétaire de notre Société, M. Vincent Durand, a bien voulu confirmer notre dire en nous citant le témoignage d’Agathias, De rebus, imp. Justiniani, lib. I, où il est dit formellement que ce mot signifie mélange d’hommes rassemblés de divers côtés (çûviXuôE, rai).
(2) Illorum tempore (Valeriani et Gallieni), Chrocus ille Allamanorum rex, commoto exercitu, Gallias pervagavit : Grégoire de Tours, L. I., ch. XXX.

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, et quelques lignes plus loin, en termes plus exprès encore : « Celui-ci (Chrocus) ayant rassemblé les peuples dont se composaient les Allamans, courut par toutes les Gaules et détruisit tous les temples qui avaient été construits jadis (1) ». On le voit, l’historien remplace l’expression « commoto exercitu par collectam Allamanorum gentem, qui indique suffisamment qu’il n’y avait pas qu’un seul peuple parmi ces Allamans.

La suite est plus intéressante encore pour le cas qui nous occupe (2) :

« Arrivant chez les Arvernes, il pilla, incendia et détruisit ce temple que les Galates appelaient, dans la langue gauloise, temple de Vasso ».

Et plus loin : « Les Allamans faisant invasion dans les Gaules, saint Privat, évêque de la ville des Gabali, fut trouvé dans une grotte du mont Mimat où il se livrait au jeûne et à la prière, les habitants étant assiégés dans les ramparts du camp de Grèze ;… il fut frappé de verges jusqu’à ce qu’on le crût mort (3) ».

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(1) Qui (Chrocus) collectam, ut diximus, Allamanorum gentem, universas Gallias pervagatur cunctasque aedes quae antiquitus fabricatae fuerant a fundamentis subvertit. – Collectam… gentem est évidemment pour collecta gente. Grégoire de Tours employait souvent l’accusatif, pour l’ablatif, il en convient quelque part.
(2) Veniens vere Arvernos, delubrum illud quod gallica lingua, Vasso Galatœ vocant, incendit, diruit, atque subvertit. – Ce temple de Vasso était dédié à Mars selon les uns, à Mercure selon les autres ; Pline en fait mention, L. III, ch. VII.
(3) Irruentibus autem Allamanis in Gallias, sanctus Privatus, Gabalitanoe urbis episcopus, in crypta Memmatensis montis, ubi jejuniis orationibusque vacabat, reperitur, populo Gredonensis castri in munitione concluso ;…. tamdiu fustibus caeditur quoadusque putaretur exanimis : Grégoire de Tours, L. I, ch. XXXII.

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Maintenant que nous trouvons Chrocus en Auvergne et dans le Gévaudan, il n’y a plus de doute possible : ses bandes ont parcouru la Gaule comme nous le disions tout à l’heure, en marchant du nord-est au sud-ouest et en traversant la région à laquelle appartient le Forez.

Enfin, pour abréger, je me contenterai de citer, sans reproduire les textes, deux autres historiens qui parlent de l’invasion des Gaules par Chrocus toujours à la même époque, et qui relatent sa capture sous les murs d’Arles, sa captivité et sa mort : ce sont Idace au Ve siècle, et Frédégaire au VIle siècle (1).

Ils nous apprennent que Chrocus avait causé une telle épouvante dans les Gaules, qu’avant d’être mis à mort « il fut couvert de chaînes, traîné au supplice à travers toutes les cités qu’il avait dévastées et finit par une mort digne de sa vie criminelle (2).

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(1) Voir les mémoires relatifs à l’histoire de France traduits par Guizot.
(2) Vinculis constrictus est : qui ductus ad poenam per universas civitates quas vastaverat, impiam vitam digna morte finivit: Fragmenta selecta Fredegarii excerpta ex Idatio.

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Il convient pourtant de dire ici qu’un auteur ordinairement consciencieux et véridique, Sigebert de Gemblours, place en 411 la mort de Chrocus ; mais il écrivait ses chroniques à la fin du XIe siècle, c’est-à-dire bien longtemps après cet événement ; il a d’ailleurs toujours été réfuté sur ce point et, comme les circonstances dont il entoure la mort de Chrocus sont les mêmes que dans Grégoire de Tours, Warnaharius et Frédégaire, il y a lieu de croire qu’il a confondu la première invasion des Vandales avec la seconde ; au contraire, ceux des auteurs précédents qui relatent cette seconde invasion la placent dans des circonstances bien différentes et, comme elle leur est mieux connue, ils la précisent mieux aussi. Grégoire de Tours donne même le nom du chef des Vandales en 411: c’était Gundéric.

Je me résume : l’histoire nous apprend qu’il y eut dans la Gaule vers l’an 265, disons sous le règne de Gallien pour être moins absolu, une invasion de barbares sous la conduite de Chrocus. Ces barbares qui ruinaient et incendiaient toutes les villes qu’ils rencontraient ont sûrement traversé notre région et, comme à cette époque, la vie semble s’être retirée subitement de plusieurs centres de population, tels que Moind et Chaysieu, qui se trouvaient sur leur passage, il est naturel de conclure que ces localités ont été détruites par cette première invasion. »

La destruction de Moind et de Chaysieu et l’invasion de Chrocus ds les Gaules. Communication de M.le lieutenant Jannesson
Auteur : M.Jannesson
Référence : 5 P.227à234
Thème 1 : Monnaie
Thème 2 : Archéologie
Lieux : Moingt, Chaysieu
La devise du Sphinx de la Bâtie. Communication de M.Joseph Déchelette
Auteur : M.J.Déchelette
Référence : 7 P.181à186
Thème 2 : Architecture
Lieux : St Etienne Le Molard
La Diana – exercice 1982
Auteur : M.F.Ferret
Référence : 48 P.79-80
Date : 1982
Thème 2 : Vie de la société
La Diana étend a nouveau son domaine
La Diana, budget pr 1976
Auteur : M.F.Ferret
Référence : 44 P.279-280
Date : 1976
Thème 2 : Vie de la société
La Diana. Communication de M. A. Huguet
Date : 1891

BD, Tome VI, La Diana. Communication de M. A. Huguet., pages 126 à 128, La Diana, 1891.

 

La Diana. Communication de M. A. Huguet.

À la suite de la communication de M. Rochigneux sur les peintures découvertes dans la maison Latour Durand, M. A. Huguet dit que les bâtiments et cours entourant la salle de la Diana en N., E. et S. portaient aussi avant la Révolution le nom de Diana. Comme preuve, il cite le document suivant conservé aux archives de la Loire (Brefs de vente des biens nationaux, Q. 59).

Une grande salle appelée de la Diana du chapitre de Notre-Dame de Montbrison joignant le cloître du chapitre de soir, les bâtiments et cour appelés la Diana dépendant dudit chapitre, de bize, à un jardin et un bâtiment dépendant dudit chapitre, d’orient et midi.

Vendue le 8 août 1791 à Jean Baptiste Chovot, aubergiste, demeurant à Montbrison, moyennant 2.875 livres. Enregistré à Montbrison le 6 septembre 1791 (1).

Une maison dite de la Diana, avec une cour, située au cloître et occupée par M. Chaîne, prêtre, ladite maison composée d’une petite cave, en suite au rez de chaussée, de deux cuisines, d’une boulangerie, d’une salle, d’un sallon et d’un bûcher ; au ler étage de cinq chambres et d’un petit charnier et ensuite d’un grenier.

Joignant aux bâtiments de M. Dupuy, une rue latrinale en partie entre deux de matin, aux bâtiments et aisances du sieur Farge aussi de matin et par un coin de midi à la salle de la Diana dite la Grande Diana de midi, à la place du cloître de soir et aux cour, bâtiments et jardins du cidevant chapitre occupés par M. de Bigny, ci devant chanoine de bize.

Vendue le 8 août 1791 au sieur Dupuy, Claude Henry, ci-devant trésorier de France au bureau des finances de Grenoble, demeurant à Montbrison, moyennant 4.300 livres. La vente a été enregistrée le 6 septembre 1791.

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(1) Le bref de vente de la salle de la Diana en 1791, a déjà été publié dans les Mémoires de la Diana, t. 11, p. 175; mais moins correctement,

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Ces deux ventes ont été faites aux enchères dans une des salles des bâtiments des Cordeliers (1).

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(1) Aujourd’hui la mairie,

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La Diana. Communication de M.A.Huguet
Auteur : M.A. Huguet
Référence : 6 P.127-128
Thème 2 : Archives
Lieux : Montbrison
La fabrique de faïences de Roanne
Auteur : M.Révérend de Mesnil
Référence : 1, p.303à307
Thème 2 : Archéologie
Lieux : Roanne
La famille Chambon, de Montbrison aux XIIIè et XIVè s.
Auteur : M.E.Perroy
Référence : 01:55,3
Thème 1 : généalogie
Lieux : Montbrison
La famille de Jacques de Viry juge et député de Forez (XVè s.)
Auteur : M.Philippe Pouzols
Référence : 53 P.289à297
Thème 1 : généalogie
Lieux : Forez
La famille de La Mure
Auteur : M.l'abbé Reure
Référence : 9 P.385-386
Thème 1 : généalogie
Thème 2 : Bibliothèque
La famille de Madame de La Chaise
Auteur : M.Jean Bruel
Référence : 53 P.433à437
Thème 1 : testament
Thème 2 : Archives
Lieux : MOntbrison
La famille de Pierrefort. – Communication de M. C.-P. Testenoire-Lafayette
Date : 1890

BD, Tome V, La famille de Pierrefort. – Communication de M. C.-P. Testenoire-Lafayette., pages 342 à 343, La Diana, 1890.

 

La famille de Pierrefort. – Communication de M. C.-P. Testenoire-Lafayette.

 

M. le Président remercie M. Joulin de sa communication et, à ce propos, dit que la famille de Pierrefort, à laquelle appartenait l’acquéreur du Parc du Roi, est originaire de Roche-la-Molière, dont un Pierrefort était châtelain au XVe siècle. Il existe dans cette commune un lieu de Pierrefort, appelé aussi Pierre-à-Fol et aujourd’hui Pirafoy, d’où cette famille tire probablement son nom.

M. Testenoire, obligé de quitter la séance, prie M. Vincent Durand de vouloir bien le remplacer au fauteuil.

PRESIDENCE DE M. VINCENT DURAND.

La famille de Pierrefort. Communication de M.C.P.Testenoire-Lafayette
Auteur : M.C.P.Testenoire-Lafayette
Référence : 5 P.342-343
Thème 1 : généalogie
Lieux : Roche la Molière
La famille Levet
Auteur : M.Claude Latta
Référence : 49 P.259à280
Thème 1 : généalogie
Thème 2 : Bibliothèque
Lieux : MOntbrison
La famille Mareschal de Charlieu aux XIIIè et XIVè s.
Référence : 34 P.32à34
Thème 1 : généalogie
Lieux : Charlieu
La famille Tardy et la terre de Rhins au Coteau
Auteur : Melle Marie Claire Hugueny, Mme Simone Pigat
Référence : 59 P.43à52
Thème 1 : héraldique, genealogie
Lieux : Le Coteau, Perreux
La famille Tardy et la terre de Rhins au Coteau
La fin de la société de prêtres de Sury le Comtal
Auteur : M.abbé Relave
Référence : 14 P.159à172
Thème 1 : religieux
Lieux : Sury le Comtal
La foi, le courage et l’amitié
La formation territoriale du département de le Loire et l’ancien Forez
Auteur : M.Georges Cuinet
Référence : 28 P.133à165
Thème 1 : territoire
Thème 2 : Archives
Lieux : Loire , ancien Forez
La forteresse du Verdier en Roannais
Auteur : M.Jacques Troncy
Référence : 35 P.149à152
Thème 2 : Architecture
Lieux : Cordelle
La franc maçonnerie Roannaise au début du XIXè s.
Auteur : M.Jacky Nardoux
Référence : 59 P.123à134
Thème 1 : maçonnerie
Thème 2 : Bibliothèque
Lieux : Roannais
La franc-maçonnerie roannaise au début du XIXe siècle
La Garenne du Rosier, à Feurs. Souvenirs d’antiquaires
Auteur : M,D.Remontet
Référence : 1, p.320à325
Thème 2 : Archéologie
Lieux : Feurs
La genealogie d’Anne d’Urfé et le légend des origines germaniques de sa famille
Référence : 42 P.55à64
Thème 1 : généalogie
Lieux : Forez
La géographie hist. du Forez
Auteur : Doct. A.Hillebrand
Référence : 52 P.643à655
Thème 1 : geographie
Lieux : Forez
La Grande Rose de Notre-Dame de Montbrison
Auteur : M.V.Durand
Référence : 2 p.357à359
Thème 2 : Bibliothèque
Lieux : Montbrison
La guerre de cent ans ds la montagne Montbrisonnaise
Auteur : D.Nourrisson
Référence : 43 P.245à248
Thème 2 : Archives
Lieux : Montbrison
La guerre de Veauche , 1363-1375, un méfait des mite en Forez
Auteur : M.Robert Poidebard
Référence : 25 P.201à206
Thème 2 : Archives
Lieux : Veauche